Suivant les estimations des ONG, il y aurait 20 000 à 30 000 enlèvements par an. Cette forme de criminalité a augmenté en fréquence et par la multiplication des zones géographiques à risques.
Or, c’est à l’employeur qu’incombe la double obligation d’avoir conscience des dangers auxquels il expose ses collaborateurs et de mettre en œuvre les mesures préventives nécessaires sous peine de voir sa responsabilité engagée. Cette obligation de résultat de sécurité trouve son origine légale dans les articles L.4121-1 et suivants du code du travail.
Il est donc possible d’assurer les risques d’enlèvement, d’extorsion, de détention illicite et de détournement. Les garanties principales seront le paiement de la rançon, les frais de consultant, la responsabilité de l’assuré (frais de défense et dommages et intérêts), les frais d’intervention, les indemnités en cas de décès ou d’invalidité permanente.